QUAND LA RÉALITÉ RATTRAPE LA FICTION
https://www.nhk.jp/p/special/ts/2NY2QQLPM3/blog/bl/pneAjJR3gn/bp/pK7zB3ljg0/
Ci-dessus, l'un des articles relayés par la presse japonaise, au sujet de cette affaire qui a défrayé la chronique alors que j'étais en phase d'écriture, et que la Bergerie était déjà née... Une coïncidence qui m'a conforté dans le fait que la réalité et la fiction ne sont jamais très éloignés...
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Cependant, même après l'arrestation du cerveau présumé, des membres restés sur place ont continué à s'associer à d'autres groupes, poursuivant ainsi leurs activités criminelles.
Actuellement, des crimes perpétrés par des exécutants recrutés clandestinement via des plateformes virtuelles persistent.
Organisation présumée du réseau, entre donneurs d'ordres et exécutants. Dans la colère d'Izanagi, tout le monde peut prétendre aux deux rôles, rendant la traçabilité encore plus difficile. (source et(c): NHK)
Plusieurs exécutants ont fini par être arrêtés. C'est ainsi que la police a mis à jour le mode de communication de l'organisation : les jeunes recevaient des instructions directement sur leurs smartphones et ordinateurs, via messagerie cryptée.
Schématisation du mode de communication (source et (c) : NHK)
Une organisation complexe et difficile à démanteler.
Un champ d'action s'étendant à l'ensemble de l'archipel, avec 70 cas jusqu'à présent, impliquant 154 personnes (source et (c) : NHK)
Il y a encore énormément à dire sur cette histoire... Mais je préfère garder cela au chaud pour le moment, sait-on jamais ?